Poésie de Francisco Amín Mosquera, poète voyageur
Traduit de l'espagnol par Libia Acero-Borbon
**LA BLESSURE**
Construite avec de petits briques
Elle commence et se termine
La grande muraille de Chine
Aux rivières qu'il trouve
Pendant qu'il coule à la mer
Le puissant Orinoco doit son débit
Le grand est grâce au petit
Le même fils de Dieu ...
D’abord, c'était un embryon
Tout ce qui existe tient à la Création
Comme Allah qui est réparti dans les lettres d'Al Coran
Dans les sables du désert et dans chaque goutte de la mer
Nous sommes attachés à l'argent dans chaque monnaie
Notre fil d'Ariadna ... notre chaîne
Le Minotaure nous dévorera
Dans la nuit ou le matin
Thésée est blessé et il ne le sait pas.
C'est la ville … ce n'est pas l'enfer
Deux femmes splendides ...
L’une, je la vois malade
Par l’accumulation excessive des calories
Comme je n'avais jamais vu une
Repandue sur elle-même
Avec sa difficile respiration et ses yeux
Injectés par la pression à son cœur
Et quand l'air se refusait à l'aider
A continuer la vie
Soudainement elle éclate
Avec un cri capable de briser les vitraux
Que me regardes-tu ? maigre anorexique !
Reine en plastique
Fausse poupée
Petite visage des publicités
Sotte de bordel
Saloppe de Facebook
La jeune femme ne lui répond pas
Et avec ardeur dans les joues, elle baisse les yeux
Cette chose que nous mange nous engraisse ou fait maigrir
Il nous crispe et nous égare
Il nous fait exploser...
Ainsi c'est cette monstruosité, le Soleil Général
La Relation Capitale qui nous tue.
Dieu, pour le cas chrétien
C'est un son qui arrive
Dans la tête de tous les Papes
Et dans l'esprit de tous
Les croyants qui lui obéissent
Dieu résonne dans le cerveau des non-croyants
Et dans la tête des athées
Dieu s'est signalé quelques fois dans ce poème
Avec ses quatre lettres
Walt Whitman recommande ... et moi aussi
D'éviter des explications ou des discussions sur le sujet
Les Nord-américains, si rusés qu'ils sont
Ils l'ont obligé à se reproduire
Dans chaque dollar, fait de sang et d'encre
Du pur papier monnaie
Que plusieurs veulent avoir.
***
LA HERIDA
Construida con pequeños bloques
Comienza y termina
La Gran Muralla China
A los ríos que va encontrando
Mientras viaja al mar
El Poderoso Orinoco debe su caudal
Lo grande es gracias a lo pequeño
El mismo hijo de Dios…
Primero fue un embrión
Todo cuanto existe cabe en La Creación
Como Alá está repartido en las letras de Al Corán
En las arenas del Desierto y en cada gota del mar
Estamos atados al dinero en cada moneda
Nuestro hilo de Ariadna… nuestra cadena
El Minotauro nos devorará
En la noche o la mañana
Teseo está Herido y no lo sabe.
Es la ciudad… no es el infierno
Dos esplendidas mujeres…
Una, la miro enferma
Por la sobreacumulacióndeenergías
Como yo no había visto una jamás
Desparramada sobre sí
Con su respiración difícil y los ojos
Inyectados por la presión a su corazón
Y cuando el aire se negaba a ayudarla
A continuar la vida
Estalla de pronto
Con un grito capaz de reventar vitrales
_!Qué me miras flaca anoréxica
Reina de plástico
Muñeca postiza
Carita de comerciales
Tonta de burdel
Ramera de Facebook
La joven no le responde
Y con ardor en las mejillas baja los ojos
Esta cosa que nos come nos engorda o adelgaza
Nos crispa y extravía
Nos hace explotar...
Así es esta monstruosidad, el Sol General
La Relación Capital que nos está matando.
Dios, para el caso cristiano
Es un sonido que ocurre
En la cabeza de todos los Papas
Y en la mente de todos los
Creyentes que le obedecen
Dios retumba en el cerebro de los no-creyentes
Y en el coco de los ateos
Dios se ha reportado varias veces en este poema
Con sus cuatro letras
Walt Whitman recomienda… y yo también
Evitar explicaciones o discusiones sobre el tema
Los norteamericanos, que astutos son
Lo obligaron a ocurrir en
En cada dólar hecho de sangre y tinta
Puro papel moneda
Que muchos quieren tener.
LE CAUCHEMAR D'UNE LOGIQUE DESTRUCTIVE
A Yuki Maruyama
Il y a seulement de petites fissures dans les unités thermonucléaires
Un, deux, trois, quatre
Ce serait bien si la population restait éloignée même ...
25... 50... 100 kilomètres carrés du lieu.
Les quantités de radiation sont minimales et seulement elles pourraient
Affecter les bébés même de 13 mois ...
Quoi qu'il en soit, il est recommandé aux gens de ne pas consommer de légumes
Nous ne le savons pas encore, mais la terre pourrait tarder des millénaires
à réparer les dommages ... de l'environnement ...
L'État ne peut pas répondre pour un dégât provoqué
Par les catastrophes naturelles ... n'insistez pas.
Il explotera le Japon avec tous les cellulaires
Le Japon éclatera avec ses usines d'automobiles
Des bateaux, des tracteurs, des ordinateurs, des portables, des Ipots
Le Japon détonera avec tous ses trains électriques et robots
Il fait sauter le Japon avec ses édifices intelligents
En crevant avec ses appareils électroménagers
Ils sauteront avec ses prisons et leurs boueurs cosmiques
Ils se casseront la figure
Avec ses quarante-six centrales nucléaires
Et le Japon nous enverra tous nous faire sauter ... avant de s'écrouler
Alors je me suis réveillé.
***
LA PESADILLA DE UNA LOGICA DESTRUCTIVA
A Yuky Maruyama
Solo hay pequeñas fisuras en las unidades termonucleares
Uno, dos, tres, cuatro
Bueno sería que la población se mantenga alejada hasta…
25… 50… 100 kilómetros cuadrados del lugar…
Las cantidades de radiación son mínimas y sólo podrían
Afectar a los bebés hasta de 13 meses…
De todos modos se recomienda a las personas no consumir legumbres
No sabemos aún, pero la tierra podría tardar milenios
En reparar los daños… en el ambiente…
El Estado no puede responder por un daño provocado
Por desastres naturales… no insista.
Explotará Japón con todos sus celulares
Estallará Japón con sus fábricas de automóviles
Barcos, tractores, computadores, computadoras, Ipots
Detonará Japón con todos sus trenes eléctricos y robots
Está volando Japón con sus edificios inteligentes
Reventándose con sus electrodomésticos
Saltarán con sus prisiones y basureros cósmicos
Se romperán la crisma
Con sus cuarenta y seis plantas nucleares
Y Japón nos mandará a volar a todos… antes de hundirse.
Entonces desperté.
MANUELA SAENZ LA BELLE
Un soldat dit à Manuela Sáenz:
"Ma capitaine, par vous le pays fut sauvé! "
Quelle femme incroyable, cette dame!
Elle fut une amie, une confidente, une compagne
Elle est née pour être Libertadora
Lieutenante de Hussards
Experte à projeter des stratégies
Et dans le domaine de la Bataille
Elle a servi non seulement d'une consolation et une infirmière
Dans l'histoire qui est pour être écrite
Elle est maîtresse d’un espace généreux
Son nom doit être dans les écoles
Et les jeunes de notre continent
Qu’ils le lancent au vent victorieux
Connaissons sa pensée vibrante
Jouissons de son humour étincelant
Elle a appelé ses chiens Santander, Córdoba et Páez
Parce que c'était de ceux-ci, une critique constante
Elle a été un bouclier en défendant Bolivar
Et certains l'ont nommée la folle
La vérité est qu'elle était très intelligente
Et elle a été un fauve à faire respecter ses idées
La Divine Providence a bien ouvré
Après avoir mêlé les hasards du Destin
Le libérateur dans son meilleur moment
Et elle, qui inonda son chemin des roses
La Gloire de Simon serait petite
Et qu'est-ce qui serait du peuple colombien?
Comment tous les Équatoriens seraient-ils?
Où serait le rêve bolivarien?
Sans la puissance et l'amour de cette fille de Quito?
***
MANUELA SAENZ LA BELLA
Un soldado dijo a Manuela Sáenz:
“¡Mi capitana, por Usted se salvó la patria!”
¡Qué increíble mujer, esta señora!
Fue amiga, confidente, compañera
Nació para ser Libertadora
Teniente de Húsares
Experta en planear las estrategias
Y en el campo de Batalla
Sirvió no solo de consuelo y enfermera
En la historia que está por escribirse
Es dueña de un espacio generoso
Su nombre debe estar en las escuelas
Y las jóvenes de nuestro continente
Que lo lancen al viento victorioso
Conozcamos su vibrante pensamiento
Gocemos de su humor chispeante
Llamó a sus perros Santander, Córdoba y Páez
Porque de ellos fue critica constante
Defendiendo a Bolívar fue escudera
Y algunos la llamaron desquiciada
Lo cierto es que era muy inteligente
Y al defender sus ideas fue una fiera
Trabajó bien la Divina Providencia
Al mezclar los azares del Destino
El Libertador en su mejor momento
Y Ella regó con rosas el camino
¡La Gloria de Simón sería pequeña
Y Qué sería del pueblo colombiano
¿Cómo estarían todos los ecuatorianos?
¿Dónde estaría el sueño bolivariano
Sin el poder y el amor de esta Quiteña ?
Le jour où M. Karl Henrich Marx
Le plus généreux de tous les hommes
Il déchiffra le mystère
Caché dans le paradoxe Capital
Et par la main de Vladimir Mayakovski
Il prit du papier et un crayon et il écrit:
Prolétaires de tous les pays, unissez-vous
Vous êtes la force productrice
Capable d'accomplir l'ordre de Dieu
Qui veut remplir la terre avec des marchandises ...
Des travailleurs ... et des femmes tricolores
Vous qui aimez la vie à tous moments
Unissez-vous parce que nous devons finir
Avec cette monstruosité
Qui est en train de nous anéantir
Puis il a travaillé sa vie sur les devoirs
Pour nous montrer petit à petit
Les ressorts magiques, subtils,
Transfigurés des affaires
Et la langue ... qui révèle et cache tout
Il est né à Treveris, Allemagne le 5 mai 1818
Et fut semé dans le cœur
De la classe ouvrière le 14 mars 1883
Merci à son meilleur ami Fréderic Engels ...
J'ai osé me souvenir de lui avec affection dans ces vers.
***
El día que el señor Karl Henrich Marx
El más generoso de todos los hombres
Descifró el misterio
Escondido en la paradoja Capital
Y por mano de Vladimir Maiakovsky
Tomó papel y lápiz y escribió:
Proletarios del mundo Uníos
Vosotros sois la fuerza productiva
Capaz de cumplir la orden de Dios
Que quiere llenar de mercancías la tierra…
Trabajadores… y mujeres tricolores
Que amáis la vida en todo momento
Uníos porque debemos acabar
Con esta monstruosidad
Que nos está matando…
Entonces trabajó su vida en la tarea
De mostrarnos palmo a palmo
Los resortes mágicos, sutiles,
Transfigurados del negocio
Y el lenguaje… que todo lo revela y oculta
Nació en Treveris, Alemania el 5 de Mayo de 1818
Y fue sembrado en el corazón
De la clase obrera el 14 de Marzo de 1883
Gracias a su mejor amigo Federico Engels…
Me atreví a recordarlo con cariño en estos versos.